Planck Vision Systems fabrique des solutions d’imagerie thermique pour l’inspection portable et la surveillance 24/7 d’applications commerciales, y compris : Détection précoce d’incendie, fabrication, sous-stations et tunnels, panneaux et armoires électriques, installations d’entreposage, centres de données et dépistage de la température corporelle élevée.

Notre société a son siège à Santa Barbara CA, la capitale des technologies de détection infrarouge aux États-Unis. Fondée en 2020, notre équipe de conception a travaillé ensemble pendant plus de 15 ans sur des systèmes de caméras thermiques/visibles et sur des produits qui sont actuellement distribués dans le monde entier.

Nous nous sommes spécialisés dans la collaboration avec nos clients pour répondre aux besoins uniques de leurs clients en matière d’imagerie thermique. Nos systèmes éprouvés ont été installés dans le monde entier dans des applications commerciales pour la production et la distribution d’énergie, la production alimentaire, le transport, l’automatisation industrielle et la détection de la température corporelle élevée (EBT).
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Stéphane Leblanc

«C’est l’histoire d’un mec, il va faire son plein… » Tel est le pitch tout simple, et pourtant plein de tension et de suspense, du Plein. C’est ce super court métrage, signé Charlie Moreno, qui a reçu ce samedi soir des mains de Quentin Dupieux le Grand Prix du jury du 14e Nikon Film Festival. « Ce film est un tube, a félicité le réalisateur de Yannick. J'aime bien aussi quand un film n'est pas trop efficace, que c'est un peu crade. Il y a des choses crades ici, mais c'est un film super efficace. » Une récompense méritée tant ce petit film dramatique parvient, en 2 minutes 20, à remonter le fil dramatique de la vie d’un homme en perdition avec un art consumé de la suggestion.
D’autres films ont mis aux poudres le « feu » du thème imposé et méritent leurs récompenses. Le prix du public par exemple, attribué par vote sur Internet à Ya Hanouni de Lyna Tadount et Sofian Chouaib : l’histoire d’un père et d’une mère qui se disputent le premier mot d’un bébé dans un pays en guerre.
Si on cite ce prix en premier lieu, c’est que le Nikon Film Festival est l’une des rares manifestations cinématographique à partager avec le public l’intégralité de sa programmation sur un site dédié. Et les films du palmarès sont bien évidemment toujours visibles. 20 Minutes vous partage les liens, il suffit de cliquer sur les titres pour voir les films.
Et apprécier la performance des deux prix d’interprétation au talent singulier : Hélène Martinelli dans 5e B d’Arnaud Huck, qui bouscule dans la rue un ancien camarade de classe et Samir Decazza, dans L’Echauffement de Jana Judor, qui détaille à un pote ce qu’il a prévu pour réussir son date du soir. Deux films à la chute aussi subtile qu’inattendue. Tout comme celle de Libre Max de Marc Allal et Hugo Hamdad, prix du scénario, dont le coup de feu final laisse pantois.
On aime beaucoup le prix des médias remis à Anechoïque d’Enzo Croizier (20 Minutes faisait partie de ce jury), ainsi que le Prix Alice Guy remis à Marie Poupinet pour Autoportrait où l’on a plaisir à retrouver Milo Machado-Graner, l’enfant d’Anatomie d’une chute. C’était aussi le film préféré de l’auteur de ces lignes, qui n’a finalement qu’un regret : que le très flamboyant western animé La revanche d’Al Umett reparte comme un pétard mouillé, c’est-à-dire bredouille. Mais la compétition, qui a rassemblé 2.272 films cette année, était particulièrement relevée. Le feu, c'est chaud.
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