Planck Vision Systems fabrique des solutions d’imagerie thermique pour l’inspection portable et la surveillance 24/7 d’applications commerciales, y compris : Détection précoce d’incendie, fabrication, sous-stations et tunnels, panneaux et armoires électriques, installations d’entreposage, centres de données et dépistage de la température corporelle élevée.

Notre société a son siège à Santa Barbara CA, la capitale des technologies de détection infrarouge aux États-Unis. Fondée en 2020, notre équipe de conception a travaillé ensemble pendant plus de 15 ans sur des systèmes de caméras thermiques/visibles et sur des produits qui sont actuellement distribués dans le monde entier.

Nous nous sommes spécialisés dans la collaboration avec nos clients pour répondre aux besoins uniques de leurs clients en matière d’imagerie thermique. Nos systèmes éprouvés ont été installés dans le monde entier dans des applications commerciales pour la production et la distribution d’énergie, la production alimentaire, le transport, l’automatisation industrielle et la détection de la température corporelle élevée (EBT).
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l’essentiel Début avril devant le palais de justice de Toulouse, un homme s’est immolé par le feu. Malgré les soins, ce septuagénaire n’a pas survécu. Ce drame conclut une fin de vie marquée par des incompréhensions profondes avec la justice.
"Help je réclame justice pour viol-ences". Cette pancarte, qu’il brandissait devant le palais de justice de Toulouse restera le dernier message délivré par Jean-Claude Furcate. Cet homme de 72 ans est mort en début de semaine dans le service des grands brûlés de l’hôpital Rangueil, à Toulouse. Au début du mois, le jeudi 4 avril, il avait été admis en urgence après s’être infligé d’importantes brûlures devant le palais de justice de Toulouse. Il venait de s’immoler par le feu après s’être versé dans le dos des produits inflammables.
"Jean-Claude s’estimait victime d’une injustice. Il ne le supportait pas. Il a parcouru une bonne partie de la France pour manifester sa colère, son désarroi", confie émue, Elisabeth, "une amie de plus de 50 ans".
Longtemps Jean-Claude Furcate, originaire du Tarn-et-Garonne, a travaillé dans un foyer pour personnes handicapées comme éducateur et veilleur de nuit. "En 2014, il a été témoin de violences entre une jeune femme handicapée et un garçon", confie Elisabeth. À ses yeux, la victime avait même été violée. Ces faits, l’employé les a dénoncés.
"J’en ai parlé à la direction mais on m’a répondu que cela ne me regardait pas", a-t-il confié en septembre 2022 à nos confrères de Nice-Matin qui l’avaient rencontré alors qu’il manifestait devant le siège du quotidien niçois. Une manifestation parmi d’autres dans le grand sud de la France qu’il a parcouru à pied pour se faire entendre, multipliant les arrêts notamment devant les palais de justice.
Quelques mois après l’incident de 2014, il a été placé en arrêt maladie par la médecine du travail. Le début d’une longue descente vers des problèmes dont il n’a jamais réussi à sortir. "Licencié, il a attaqué son employeur aux Prud’hommes", indique son amie. Ce périple judiciaire a commencé en décembre 2018 devant le conseil des prud’hommes de Toulouse.
"Nous avons perdu devant le conseil, mais nous avons gagné en appel", indique son avocate Me Pauline Vaissiere. L’employé licencié touche alors plus de 30 000 €. "Son employeur a déposé un pourvoi. La chambre sociale de la Cour de cassation leur a donné raison sur la forme. Il a donc dû rendre la somme gagnée en juillet 2020…"
De l’argent qu’il avait, semble-t-il dépensé. "Il ne comprenait pas, n’acceptait pas ce revirement", confie Elisabeth. C’est ce qui l’a poussé à parcourir la France avec l’ambition de se rendre jusqu’à Strasbourg, devant la cour européenne de justice. Son périple, lui qui vivait dans le Gers avec son plus jeune fils, s’est définitivement arrêté à Toulouse.
Pourquoi ce passage à l’acte ? Difficile de l’expliquer. Son amie Elisabeth, ses deux fils partagés entre tristesse et colère, ne comprennent pas. "Jean-Claude ne souffrait pas de dépression", affirment ses proches. L’enquête ouverte par le parquet après le drame se poursuit. Une autopsie a été pratiquée ce jeudi 18 avril. Les obsèques de Jean-Claude Furcate pourraient être organisées la semaine prochaine chez lui, à Montgaillard, en Tarn-et-Garonne.
Une jeune avocate toulousaine, émue par le drame, résume le sentiment qui prédomine au palais de justice de Toulouse : "On n’a pas su l’entendre, l’écouter, le comprendre. Quel gâchis !"
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Condoléances à sa famille gestes de désespoir face à une justice à deux vitesses
Maudite justice française dominée par des incapables
Geste inexplicable écrivez vous?vous vous moquez de ce pauvre type.Condoléances à sa famille et ses amis

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Planck Vision Systems fabrique des solutions d’imagerie thermique pour l’inspection portable et la surveillance 24/7 d’applications commerciales, notamment